Les gagnants de l'édition 2023
- laurencejob
- 7 mai
- 2 min de lecture

Jean-François REMESY et Jean-Pierre SALLAT
Jean-François, Jean-Pierre, parlez-nous s'il vous plait de l'ARKÉA OMNIUM 2023.
Jean-François Remesy: Pour moi, l'ARKÉA OMNIUM 2023, c'est d'abord une belle victoire, partagée avec mon ami Jean-Pierre dans une ambiance de rêve ! Quel bonheur de retrouver la Côte Basque... cette région m'a beaucoup donné dans mon passé golfique. Je pense à toutes ces heures d'apprentissage en compagnie de Martin Ado, Tito Lassalle et bien d'autres.
Ce fut aussi un immense bonheur de revoir mes idoles, Jean Garaialde, José-Maria Olazabal, Olivier Léglise, Bernard Pascassio et tant d'autres... un plaisir sincère de retrouver tant d'amis pros et enseignants, et bien sûr mes amis et mes proches.
L'ARKÉA OMNIUM, C'est une super ambiance et une très belle organisation.
J'ai passé une semaine formidable, il me tarde de revenir pour l'édition 2024.
Jean-Pierre Sallat : L'ARKÉA OMNIUM 2023, c'est une super victoire, surtout avec ce champ de joueurs. J'ai eu beaucoup de plaisir à jouer avec Jeff, mon pote. Et puis, jouer avec Txema Olazabal a été un grand moment(NDLR: au 1er tour). J'avais en face de moi un passionné, un mec sportif, humble qui ne parle pas de lui et qui joue avec un gros coeur. J'ai vu des coups fantastiques, notamment un chip exceptionnel au 16. Et il est venu nous féliciter chaleureusement sur le green du 18, c'était vraiment sympa.

L'ARKÉA OMNIUM, c'est une organisation top, des équipes dévouées (employés du golf, commissaires), un Alain de Soultrait qui s'est donné sans compter, et des sponsors remarquables. J'espère que tous y ont trouvé leur compte parce que pour ma part, et je pense parler pour tous les joueurs, j'ai passé trois jours superbes.
Et n'oublions pas le golf d'Arcangues qui est un endroit magique. Il vieillit comme du bon vin, le club fait vraiment un excellent boulot pour améliorer le parcours année après année.
Quels conseils donneriez-vous pour jouer au mieux sur le parcours d'Arcangues ?
JFR : De bien comprendre les coups en pente, d'apprendre à se positionner pour les réussir.
JPS : De toujours bien réfléchir aux mises en jeu parce que le parcours se défend et qu'on joue peu de coups avec les pieds à plat.
Quel est le plus beau souvenir golfique de votre carrière ?
JFR : Sans aucun doute, mon premier Open de France en 2004.
JPS : L'obtention de ma carte sur le Senior Tour.
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